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sábado, 15 de junio de 2013

"" PADRE ""

Letanías pregonadas en silencio,
músculo sufriente y silencioso,
tu espalda ya encorvada y tiempo;
llevas con amor y sabiduría.

Eterno desvelo en cautiverio

fluye de tus poros sudorosos,
ese deber cotidiano y sin fin
refleja tu esencia paternal.

Amor inequívoco y callado

que revelas en noches sombrías,
dolor interno escondido en carne...

¡una lágrima!, define tus sentimientos.


Paso de tiempo y canas blancas

van vistiendo en años tu piel,
manos callosas, arrugadas pero sensibles;
acarician el fruto de tu vida.

Pasión congruente e irreversible

derramas sin esperar, sobre tus hijos,
con manto de amor y perdón cubres;
soslayando actitudes familiares.

Hoy, aún recorres senderos

en esta vida terrenal;
y seguro, estés donde estés,
con amor, escucharas nuestras plegarias.

                   Dedicado a mi padre Martín Emilio Francese

Pensamiento escrito el: 16 de junio de 2013
Autor: Jorge Aimar Francese Hardaick
DERECHOS RESERVADOS DEL AUTOR (*)












martes, 11 de junio de 2013

DE PADRE A HIJO

Un día llegaste al mundo,

paraíso terrenal del hombre.
Llegaste con fervor y lágrimas,
esas que alguien con afecto secó.

De ternura y amor era tu mirada,

todo lo pedías con llanto embelesado
y siempre a tu lado alguien recibía
tus sonrisas angelicales.

Sin saber del sufrimiento exigías

caricias, miradas, gestos y elogios,
de ese que a tu lado siempre está
velando por tu salud e integridad.

El tiempo fue transcurriendo, ágil,

pero sin pausa te fue demostrando
que no llegaste solo con alegrías,
sentiste la tristeza como una bofetada.

Desconcertado mirando el camino a tomar

descubriste a tu lado, al que te supo guiar,
comprendiste quizá temprano, quizá tarde,
pero valoraste al que te supo amar.

Ese alguien siempre desvelado

por tu existencia en esta vida,
quien guía tu camino 
sin soslayar tus errores,
sosegando tus impulsos juveniles,
ese alguien que a tu lado siempre está,
ese alguien hijo mío, ese alguien... es papá.


              Dedicado a mis tres hijos menores con amor.


Pensamiento escrito el: 09 de Junio de 2013
Autor: Jorge Aimar Francese Hardaick
DERECHOS RESERVADOS DEL AUTOR (*)



viernes, 7 de junio de 2013

LUNE

Lune de retour de velours
témoin éternel de grands amours,
sur votre lumière et les ombres
Vous avez été patient et complice
histoires douces et d'amour.


Lune de miel aromatisé,
pour vous que vous vous baignez dans la rivière
et une couverture de nuages
vous sécher et vous venez de nager,
Je vous écris ces lignes.

Peu amour sincère
ils voulaient descendre,
quelques promesses d'amour
Vous avez réussi à préserver jalousement,
quelques secrets ont caché
à la lueur de votre présence.

Vous avez pas dit jeune esprit ?,
Quelques coups de la jeunesse floraison
vous avez touché et caressé avec eux ?.
amour éternel
votre lumière ou votre ombre
Ils marcheront avec vous nuit
à mustiar forces.

La pensée Publié le 22 Avril, 2012
AUTEUR: Jorge Aimar Francese Hardaick
DROIT DE RESERVE (*)

DITES AU REVOIR

Aujourd'hui, la journée commence
avec un soleil plein de vie,
dont il illumine nos coeurs
et bat au rythme de l'amour.

Tout devient tendre et sensible,
dialogue sensible, caresses,
la chaleur intrinsèque de notre corps,
l'étreinte sans fin
qui nous laisse sur le bord de la luxure.

Joints indescriptibles
la folie de la passion et de l'amour,
ce qui conduit à des décisions
nous ne savons pas si elles seront acceptées
sur le côté opposé.

Nous continuons à passer cette aventure
comme tout ce qu'il était à nos pieds,
et nous demandons à Dieu qui ne se termine pas
juste pour l'amour exprimé
sur le chemin spirituel de notre vie.

Le temps passe sans voir,
Nous sommes aveugles à la réalité,
certaines choses sont dissipées
et nous anxieusement
un chemin épineux.

Malheureux est le chemin de l'amour
quand il est pas réciproque,
Nous offrons par inadvertance
refroidir le contraire.

Après un temps prolongé
nous pouvons dire avec des larmes,
Aujourd'hui, la fin de la journée
avec un coucher de soleil triste et gris.

Pas nos battements cardiaques
pour l'amour que nous savions d'avoir,
tout disparaît dans le crépuscule,
il n'y a que des larmes et des sanglots
d'un amour que peut-être ... n'a jamais existé.

Comme il est difficile de dire au revoir
quand nous savons qu'il y avait le feu
fondu notre peau,
peau fait maintenant ombres
loin entre
avec des souvenirs brûlants seulement ...
Comme il est difficile de dire au revoir ....

La pensée Ecrit 2 Août, 2012
Auteur: Jorge Aimar Francese Hardaick

DROIT DE RESERVE (*)

VIEIL AMI...NOSTALGIE DE L´AMOUR

Tuesday, Janvier 24, 201
 
VIEIL AMI ... NOSTALGIE DE L'AMOUR

Plusieurs années se sont écoulées
et je ressens toujours cette nostalgie chevrotante
qui devient de ma vie
dans les mémoires qui ne disparaissent pas
et toujours coincé épines dans ma chair.

La vérité est qu'il ya l'amour éternel,
par exemple persivo même le parfum de votre peau
dans un moment de Presis vos pores
fusionné avec le mien dans une étreinte,
une caresse, une passion dépassés.

Comme un voyageur dans le temps
est encore dans ma bouche
la douceur de tes lèvres sur les miennes,
chaud, ardent, tendre et humide.

Aujourd'hui, après tant de temps écoulé
J'imagine que votre expérience avec la mienne structurée
et je suis sûr de soulever
une cathédrale pur et l'amour passionné.

Beaucoup de moments forts de la luxure,
combien l'ombre de la lumière est devenue
après avoir bu la coupe de votre corps,
Quelques coups d'innombrables
mettre sur la table de l'amour,
quelques choses ... comment beaucoup de nostalgie de l'amour.


Pensée écrite 23 Janvier, 2012
Auteur: Jorge Aimar Francese Hardaick
DROIT DE L'AUTEUR (*)

sábado, 1 de junio de 2013

HOMBRE EN SOLEDAD

Que tristes versos debo escribir
cuando una soledad insospechada
perturba y abate mi mente.
Que tristes versos debo escribir.

Cuando el fuego impalpable 
oculta su calor y el manto 
de la noche me abraza,
descubro en el azotador ocaso
mi cruel y devastadora soledad.

Percibo un holocausto de angustias
y trato de hablar 
con quien ya no está,
solamente un triste recuerdo me abruma
un escalofrío recorre mi alma.

Siento el sabor amargo
de una realidad que me surca.
El pasar espinoso y letal
me espera al final del camino.

Con ilusiones postergadas
prosigo con mirada cabizbaja
presumiendo estar en donde no,
pero la realidad... 
me envuelve en soledad.

Mi afligida y desbordante ansiedad
sólo ve en mi en derredor
la sombra tenue de tu silueta,
y favor le pido, se mantenga a mi lado.

Que tristes versos debo escribir
cuando una soledad insospechada
perturba y abate mi mente.
Que tristes versos debo escribir.

Pensamiento escrito el: 01 de Junio de 2013
Autor : Jorge Aimar Francese Hardaick
DERECHOS RESERVADOS DEL AUTOR (*)